La Fleur du destin

De Lesavonneux à Petit Jules, en passant par Adèle Poincelot et Aurélien Baquet, le destin tragique et souvent drôle de toute une frange de la population de Monthureux sur Saône au 19ème siècle... sans oublier les «patrons», ceux de la filature, symbole des débuts cahoteux de l’ère industrielle... Le tout en musique et chanté par Lulu la Chance, égérie du grand Jacques Offenbach en personne qui par les hasards de la vie se retrouva à cette époque sur les bords de la Saône avec toute sa troupe de saltimbanques.

Vosges Matin 2 août 2012